Isabelle - Vice-présidente sports de l’ASCE 34

publié le 4 avril 2023

"Je suis actif pour les ASCE" - premier portrait

Comment êtes-vous entrée dans le mouvement associatif ?
J’ai adhéré à l’ASCE à mon arrivée dans l’Hérault, en 2015. Une collègue de la DDTM m’avait parlé de la section zumba, une activité que je pratiquais auparavant à Paris.
Élue au comité directeur en 2020, j’ai été adjointe au vice-président sports, avant de devenir moi-même vice-présidente sports en 2022.

Quels sont les éléments qui vous motivent pour participer ?
On peut dire que j’ai la "fibre associative" : j’aime organiser des événements pour les autres. Voir les gens satisfaits me donne envie de proposer de nouvelles choses. Je suis contente aussi de partager ces moments de détente avec des collègues que je n’aurais pas forcément rencontré autrement. Ça nous rapproche, et ce sentiment de faire partie d’une communauté est important aussi dans le contexte professionnel, parfois cloisonné.

Qu’est-ce que vous ont apporté ces expériences ?
J’ai appris à organiser des événements tout en gardant de la souplesse pour ne pas stresser en cas d’imprévu !

Avez-vous une anecdote, un fait marquant, une réussite à partager ?
Dès ma première année en tant qu’élue, j’ai organisé un challenge national de trail. Malgré le nombre réduit de participants, dû notamment au contexte de pandémie, cet événement a été une réussite pour les coureurs et accompagnants. J’étais heureuse de leur faire découvrir le temps d’un week-end les beautés du littoral héraultais et la gastronomie locale.

Que voudriez-vous dire à quelqu’un qui a envie de s’engager ?
Les ASCE créent du lien, encore aujourd’hui, entre les adhérents issus de différents services,mais aussi entre actifs et retraités. Pour continuer à partager ces bons moments, toutes les bonnes volontés sont les bienvenues, même ponctuellement. Si vous avez une idée d’animation ou de sortie qui pourrait profiter à un plus grand nombre, n’hésitez pas à vous lancer ! Et surtout, ne vous découragez pas, si vous avez l’impression que peu de personnes participent. Il vaut mieux faire plaisir aux quelques personnes qui vous ont suivi, que d’annuler et décevoir ces personnes. Le bouche à oreille marchera pour les fois suivantes !