La randonnée cool du 15 février à Tanneron

publié le 18 février 2020 (modifié le 21 février 2020)

Publié le 18 février 2020

Ce samedi 15 février, sous un soleil radieux, nous avons sillonné les pistes de la forêt du Grand Duc, au dessus de Mandelieu-la-Napoule, pour admirer la floraison des mimosas.

Afin de ne pas nous retrouver dans la cohorte des promeneurs (même
si ces derniers arrivent plus tard dans la matinée) nous avons décidé
de nous garer plus loin sur la route de Tanneron et d’entamer un
circuit inédit (différent de ceux proposés par la commune).

Très belle promenade avec larges vues entre mer (Mandelieu/Cannes
et ses îles) et montagne (sommets de l’estérel).

Cette sortie étant annoncée comme modulable à souhait, nous a
permis de faire la connaissance de Céline Rossignol, nouvelle
adhérente, accompagnée de ses deux compagnons à 4 pattes.
Florence nous a également présenté bébé paillette et a dû nous
quitter à mi-parcours, régime paillette oblige (3 repas par jour et pas
trop de marche au début).

Etant entourés par de nombreux groupes et individuels la pause
déjeuner fut bruyante se situant sur le carrefour stratégique de la
fôret du Grand Duc.

Le retour, terminé par un sentier non balisé,
nous a permis de nous retrouver au calme loin des poussettes, des chiens, des chaussures de ville, des papys et des mamies et j’en passe car cet endroit attire grand nombre de promeneurs et preuve en est, lorsque nous sommes partis en voiture, aux endroits les plus connus il y avait des véhicules stationnés sur plus d’un kilomètre.

Cette agréable journée s’est achevée autour du traditionnel pot de
l’amitié offert par la section.
Nous aurons néanmoins parcouru 10 kms avec un dénivelé de 300 m

Le saviez-vous ?
Comme le rappelle un célèbre mimosiste, “Le mimosa qui éclaire, qui embaume et qui ravit restera toujours le symbole de la Côte d’Azur. C’est la seule fleur qui apporte au beau milieu de l’hiver l’éclat de ses couleurs et la délicatesse de son parfum.”
Le mimosa, ce symbole d’or venu du continent australien au XIXe siècle, a trouvé en Provence sa terre de prédilection, notamment dans le massif du Tanneron qui domine la cité de Mandelieu-La Napoule. Les fleurs sont dites sessiles, c’est-à-dire sans pédicelle et portent des centaines d’étamines variant dans toutes les nuances de jaunes ; elles sont minuscules et forment de petites boules jaune d’or : les glomérules. Illuminant les collines au cœur de l’hiver, de janvier à mars, le mimosa ne se contente pas de séduire l’oeil du visiteur grâce à sa floraison jaune- vif, mais il flatte aussi son odorat, exhalant de subtiles senteurs aux heures chaudes de la journée.