La randonnée du 12 janvier aux crêtes du Countent

publié le 13 janvier 2020

Publié le 13 janvier 2020

Dimanche 12 janvier : Ciel radieux, soleil généreux, température très agréable, voilà les ingrédients de cette magnifique journée pour les 12 inscrits à la randonnée en raquettes.
Initialement, nous devions nous rendre à Gréolières, mais le manque évident de neige dans la station nous a conduits à changer la destination et nous tourner vers des sommets plus élevés.
Arrivés au col de la Couillole, il faut bien se rendre à l’évidence, là aussi il n’y a pas beaucoup de neige. C’est donc à pied que nous commençons la balade. Nous chaussons nos raquettes un peu plus haut car l’épaisseur de neige se fait plus conséquente. Nous passons dans le bois de mélèzes en contrebas du mont Brussière. Quelques arbres tombés en travers du chemin représentent quelques embûches que nous surmontons facilement. Peu après, le sentier s’élargit et nous arrivons à la balise n° 102 A pour continuer en direction des crêtes du Countent. Hélas, la neige se fait très rare et le cheminement peu stable.
Nos animateurs prennent la décision de ne pas continuer. Nous rebroussons chemin pour entamer la montée vers le sommet du mont Brussière pour y pique-niquer.
Tous les groupes qui promènent aujourd’hui s’y sont d’ailleurs donné rendez-vous. Nous saluons les participants à la sortie proposée par le DUC et posons nos sacs. La vue est juste extraordinaire, nous avons beaucoup de chance d’être là.
Et que les agapes commencent ! David nous offre le champagne, rien que ça, pour trinquer à la nouvelle année ; Aurore propose des toasts de foie gras, non mais, vous vous rendez compte !
Quelques mésaventures tout de même, car la randonnée n’est pas toujours un long fleuve tranquille : les raquettes de Sébastienne n’ont pas résisté à l’usure du temps et le chaussant avant en plastique s’est cassé. Pierre, lui, perd carrément non pas la boule mais la semelle de sa chaussure ! Tout cela donne, évidemment, lieu à quelques fous rires.
La redescente se fait par le versant sud du mont Brussière. C’est assez abrupt et la neige est molle à cette heure de la journée, mais c’est plaisant de se laisser glisser. Le retour aux voitures se fait rapidement. Et nous ne sommes pas au bout de nos surprises : Daniel nous propose de partager la galette des Rois qu’il a lui-même confectionnée. Un vrai délice.
Merci à tous de nous offrir d’aussi bons moments, on en redemande tout au long de l’année 2020.