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Ma fille participe au challenge de badminton à Antibes, adhérente à l’ASCE 55, mais habite près de Strasbourg pour raisons professionnelles.
Je lui cherche un co-voiturage pour le 1er novembre 2012 et retour le 4 novembre 2012.
S’il y a des acéistes du Bas-Rhin qui font le déplacement, et possibilité de la co-voiturer, ça serait sympa.
Merci d’avance.
L’adresse de renvoi des dossiers d’inscription est donnée en page n°2 du dossier, dans la rubrique "contacts" :
Le dossier d’inscription de votre ASCE est à retourner avant le 30 avril 2011 accompagné du règlement par chèque à :
URASCE Bourgogne / Franche-Comté
Inscriptions challenge national de pétanque
57, rue de Mulhouse - BP 53317
21033 DIJON CEDEX
Toute inscription non accompagnée du règlement ne sera pas prise en compte par l’organisation.
Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez contacter Annie MORIN par courriel à l’adresse suivante :
morin.annie@cote-dor.gouv.fr
Amicalement
Bonjour
Très bonne initiative que de prendre en compte le développement durable dans l’organisation de ce challenge. Cela correspond tout à fait à l’objectif attendu par la FNASCE. Pour nous y rendre nous avons décidé de prendre le car affrété par nos amis de l’ASCE 50.
Une petite remarque quant au dossier lui-même sauf erreur de ma part je n’ai pas vu trouvé, dans le dossier, d’adresse pour renvoyer les inscriptions… C’est à la lecture du message de rappel précisant que la date limite d’inscription était repoussée au 13/05 que j’ai vu l’adresse… à moins que j’ai la berlue… Bon courage pour l’organisation. Nos inscriptions partent d’ici demain ou après-demain.
Amicalement
Chantal
Non ça ne me parle pas le carnaval des animaux, mais c’est cela la culture de l’entraide : en apprendre tous les jours.
Par contre, je viens de m’apercevoir que le micro de l’amicale n’a pas de son, dommage car le chargement rame.
Merci aux ASCEE qui sont venues nous voir cette journée là, un peu fraîche pour les adultes notamment car les enfants se sont bien dépensés semblet-il. En témoigneraient les deux miens qui ont dormi dans la voiture, le sourire aux lévres, sur le chemin du retour. Woimbey-Vignot c’est pourtant pas très long…
Brigitte
C’est un diaporama qui a un peu "trainé" avant d’être mis en ligne car Hélène souhaitait mettre en musique de fond le Carnaval des animaux de Camille Saint-Saëns.
J’ai eu un peu de mal de à trouver ce morceau, mais grâce à l’aide de JPB, le diaporama a pu être achevé.
Et vous? ça vous parle le carnaval des animaux??
Perso, au début pas du tout, mais quand je l’ai entendu je me suis souvenue l’avoir déjà entendu quelque part !
Mais où??
Réponse :
* Le morceau Aquarium a été maintes fois repris dans des publicités, notamment pour Décathlon et Gallia, dans l’introduction du dessin animé La Belle et la Bête des studios Disney et comme thème principal du film de Terrence Malick, Les Moissons du ciel (Days of Heaven). Il est par ailleurs présent avant chaque diffusion de film dans la salle du Palais des Festivals à Cannes durant le festival de cinéma organisé dans la ville.
* Le finale a été repris pour une séquence avec des flamants roses dans le dessin animé Fantasia 2000
Et voilà un peu de culture dans l’entraide !!
et même pas dopés ils étaient…
Les beaux oiseaux ne mouillent pas : ils disent. Ah la bonne blague !
Toutefois, un temps de chien et un froid de canard ça n’arrête pas un ascéiste en herbe…..
Vive le nord meusien et sa biodiversité.
il y en a pour tout le monde. Ceux qui aiment la compétition et ceux qui préférent être cool…..
Personne ne s’est blessé, tout le monde s’est amusé et c’est là le but recherché.
Espérons que plus de monde sera là en 2011.
Vive les Vosges et les Vosgiens. Brigitte
Tout à fait : félicitation à Eric et Manon !
Mais n’oublions pas les participants "hors compétition" qui n’ont pas démérité non plus ! …
Cela aurait été sympa de conclure ce petit clip super sympa avec une photo du médaillé de notre bureau !…. Mais c’est très sympa cette réalisation et la journée était super !
Depuis 2007, notre Ministère le MEEDDM, est devenu le grand Ministère de l’Ecologie, du Développement Durable, … en charge du portage des politiques exemplaires de l’Etat : préserver l’environnement, énergie et climat, logement, transport et mer, prévention des risques. Quid de l’Etat exemplaire en matière de lien social durable au sein de la communauté de travail ?
Jusqu’alors l’expression du mot "durable" n’était pas évoquée - mais depuis 40 ans la FNASCEE et ses ASCEE au sein de notre ministère démontrent qu’elles oeuvrent dans le DURABLE pour le lien social, et aujourd’hui, où l’on évoque plus que jamais le mot "durable" notre Ministère se désengagerait-il vis à vis de notre Fédération et nos ASCEE ? Face au démantèlement des services d’où l’incertidude de notre devenir, nous avons un réel besoin d’une prise de position de notre ministère et de son exemplarité dans le lien social durable.
Depuis 17 ans j’oeuvre au sein de mon ASCEE sur nos trois piliers que sont le sport, la culture et l’entraide. Au travers des manifestations organisées depuis toutes ces années je vois non seulement l’agent, mais sa famille, ses enfants, se réjouir d’être ensemble, devenir amis, je vois les enfants grandir ensemble et rester amis, je vois les retraités heureux de rester parmi nous grâce à l’ASCEE, je vois des familles soulagées par nos actions d’entraide. Ce lien social que nous avons installé dans le durable depuis 40 ans donne une autre dimension dans les relations entre agents, rejaillit en positif au sein de notre travail et de nos services. Nous devons rester cette "amicale de personnel" seine et solide pour le bénéfice de tous.
bonjour,
je ne suis pas un grand orateur, je serai donc bref. Je rejoindrai sophie, j’y crois encore. Max (MARCOLINI) que je considère comme mon "père" spirituel, qui sort de mon bureau, m’a donné depuis tant d’ années cette envie de jouer ce lien social avec nos collègues. Cette année, nous avons fait encore plus de manifestations, pour faire plaisir à nos adhérents. Et l’essentiel, c’est la joie que nous apportons aux participants à nos manifestations et surtout à leurs enfants. Alors, je dis, continuons à leur faire plaisir. J’ai peut-être la chance d’être encore entendu par ma proche administration, je sais que nous ne sommes pas tous voués à la même enseigne, mais il faut continuer, il ne faut pas renoncer et peu-être serons nous entendus.
Je suis dans la fonction publique depuis 29.5 ans. Mais à l’Equipement que depuis 4.5 ans. Et déjà de mauvaises habitudes pour certains, puisque j’ai gardé l’emploi du mot EQUIPEMENT…..
Dans mon ancien ministère, la Défense, existent ou non des amicales, mais ce sont des entités isolées, qui n’ont pas l’avantage d’être regroupées en fédération nationale.
A l’heure actuelle, nous avons cet avantage d’EXISTER encore, au niveau local, regional et national. C’est unr force. Lorsque je suis arrivée à l’Equipement, à l’époque à la DDE 94, la présence de l’ASCEE a été primordiale pour moi. Cela m’a permis "d’intégrer" et d’être intégrée plus rapidement dans mon nouvel univers. Quelques temps plus tard, me voilà présidente à l’ENTE d’Aix en Provence. Après un sondage, voilà quelques remarques de nos adhérents :
– bravo pour l’accès au centre aéré du CETE, cela m’a enlevée une sacré épine du pied
– heureusement que les unités d’accueil existent, car sinon, je ne partirai jamais en vacances
– la billèterie, sympa, je peux "m’évader" à moindre frais
– la section entraide est d’un grand secours….
Il est PRIMORDIAL de continuer d’exister.
Voici un extrait de l’article de Cathy Tagliferry, présidente ASCEE 13, que je me permet de citer ici, car c’est le reflet de notre pensée !! :
"Il est primordial de faire acter que :
l’ASCEE est l’association du MEEDDM, que tous les agents MEEDDM peuvent y adhérer et que l’association est ouverte aux agents issus d’autres ministères en poste dans les services DREAL ; tous les services du MEEDDM doivent respecter ce principe et aucune dérive ne peut être acceptée.
Il faut une stratégie claire de la FNASCEE et un pilotage fort.
les ASCEE doivent être maintenues dans le réseau départemental en recherchant une mutualisation renforcée par exemple sous la forme d’unions avec les associations historiques des ministères."
Nous avons encore la chance d’avoir un bureau et une salle à mettre à disposition de nos adhérents ce qui n’est pas le cas pour tout le monde. Il faut absolument que le service continue à nous soutenir pour que l’on puisse vivre. De plus, nous n’avons pas de permanent et les décharges d’activités sont indispensables pour la tenue correcte de la comptabilité et le temps passé à contacter nos divers interlocuteurs (traiteurs, transporteurs, musées, parc d’attractions, presse, élus locaux…). Pour ma part, je trouve très enrichissant de pouvoir proposer des activités à mes collègues de travail et de les partager avec eux. Nous avons de très bons retours (soirée jeux, randonnées raquettes l’hiver week-end rando en été etc.). Que ce serait dommage de perdre ce lien social avec les agents du Ministère !
Je garde espoir.
Sophie VERWAERDE
Présidente de l’ASCEE 05
La récente décision prise par le CLAS de la DIR d’organiser un arbre de Noël en 2010 pour l’ensemble de ses agents peut laisser planer quelques doutes sur notre rôle au sein de l’action sociale. Cette décision a été prise sans aucune concertation préalable ni aucun respect des directives ministérielles, ni des conventions locales.
Conformément à la convention signée avec le DDE, le DIR/NO, le DRE, l’ASCEE 28 avait parmi ses missions, l’organisation de l’arbre de Noël pour tous les enfants des agents du MEDDM travaillant dans le département y compris les agents de la DIR/NO.
Après de multiples échanges, avec le CLAS et le SG, la réponse définitive vient de me parvenir :
<quote>Comme vous le savez, la DGPA, en décidant la création dans chaque DIR d’un comité local d’action sociale a de fait entériné l’existence d’une structure en propre habilitée à mettre en place des actions collectives sur un périmètre beaucoup plus large que celui des départements. Si l’instruction suggérait la mutualisation de certaines actions collectives, elle ne l’imposait toutefois pas. Le débat sur la mutualisation de proximité, notamment de l’arbre de Noel, a naturellement eu lieu au sein du CLAS. Pour les arbres de Noel 2008 et 2009, les organisations en place ont été maintenues à la demande de la DIR, en revanche le CLAS s’est prononcé en faveur d’un arbre de Noel non mutualisé pour 2010.
Même si la DIR reste bien entendu en charge de l’action sociale collective pour ses agents, celle-ci doit naturellement s’exercer en collaboration avec son CLAS. C’est pour cette raison qu’il ne m’a pas paru souhaitable de remettre en cause l’orientation prise par le CLAS pour le prochain arbre de Noel, quels que soient l’expérience et le savoir faire reconnus des ASCEE en la matière.
Il est apparu également que, petit à petit, les liens professionnels entre agents de services différents dont certains sont aujourd’hui en profonde mutation devenaient petit à petit plus distendus sur certains territoires de la DIR NO.</quote>
En conclusion : Quel est l’intérêt des conventions ou des directives ministérielles si personne ne se sent obligé de respecter ses engagements ?
Comment continuer à oeuvrer quand un directeur issu de l’ex DDAF qui ne comprend pas ce que représente l’ASCEE et ne cesse de comparer le CLAS à l’ASMA ? Tout ce que l’ASCEE fait : c’est bien ! mais, le faire le we c’est mieux et surtout, (le message est clair) ne rien demander à l’administration ! Comment continuer à fonctionner sans le permanent à mi-temps depuis 20 ans, parti à la retraite fin 2009, que la direction ne veut pas remplacer.
Il faut se battre tous les jours pour affirmer la nécessité de notre existence ! Se battre encore pour conserver un bureau dans la restructuration suite à la fusion ! Alors, je vous assure qu’il faut la foi pour continuer. Et là, heureusement qu’il y a les autres ascee, les copains, pour redonner le moral et le courage de continuer. A noter, tout de même, l’excellente entente avec les dirigeants de l’ASMA avec lesquels nous avons décidé de travailler ensemble en toute intelligence pour tous les agents de la DDT.
L’organisation des services de l’Etat a subi depuis 2007 de véritables révolutions. Au niveau national, le MEEDDM a été créé en regroupant des agents de l’ex Equipement, de l’ex-Ecologie et de l’ex-Industrie
Au niveau régional, les DREAL sont créées sur la base du niveau national sans oublier le transfert d’agents vers les DIRECCTE. D’ici quelques semaines, seront créées officiellement les DIRM.
Au niveau départemental, les services sont regroupés sous l’autorité du 1er ministre, les agents pouvant donc se situer dans les DDT(M), DDCS, DDPP, Préfecture.
Des services spécifiques mutualisant ou intégrant les moyens support sont également créés (PSI, plate-forme CHORUS…).
Le paysage administratif a donc connu une forte mutation qui nécessitera plusieurs années de consolidation. Ces mutations ont très nettement détérioré le lien social et associatif.
Les comportements des uns et des autres se trouvent de plus en plus confrontés aux postures professionnelles : le niveau régional pilote, le niveau départemental applique, les pôles supports intégrés sont des services prestataires. Ce big-bang se trouve renforcé par la diminution des effectifs et des moyens de fonctionnement : il faut rationaliser. La rationalisation ne suffit pas, c’est aussi la remise en cause des principes de fonctionnement et des acquis des ministères d’origine qui sont ébranlés.
J’aurai pu penser que le secteur social (CLAS, MGET..) et le secteur associatif (ASCEE, ASMA..) puissent être des vecteurs de rapprochement des cultures dans les services. Dans le secteur associatif, il n’y a jamais eu de distinction, pour les chefs lieux de région, entre les agents situés au niveau régional et les agents du niveau départemental.
Malheureusement, la réalité est toute autre : au niveau régional, fleurissent, me semble-t-il des associations spécifiques DREAL ou autres sur les champs identiques de l’ASCEE et subventionnées localement.
Au niveau départemental, les services ne dépendent plus du MEEDDM et peuvent coexister deux ou trois ssociations dans les mêmes services sur des champs identiques.
Dans le même temps, le MEEDDDM a reconduit sa pleine et entière confiance à la FNASCEE. Toutefois, cet acte n’est pas suivi d’effets au plan local.
Notre congrès comporte par conséquent des enjeux importants :
– la pérennité du réseau associatif dans les services du Ministère,
– l’évolution du réseau des FNASCEE dans les services départementaux.
Il est primordial de faire acter que :
– l’ASCEE est l’association du MEEDDM, que tous les agents MEEDDM peuvent y adhérer et que l’association est ouverte aux agents issus d’autres ministères en poste dans les services DREAL ; tous les services du MEEDDM doivent respecter ce principe et aucune dérive ne peut être acceptée.
– Il faut une stratégie claire de la FNASCEE et un pilotage fort.
– les ASCEE doivent être maintenues dans le réseau départemental en recherchant une mutualisation renforcée par exemple sous la forme d’unions avec les associations historiques des ministères.
Il me semble d’abord utile de souligner la valeur "entraide" portée par les ASCEE. Cette notion se manifeste effectivement au travers de propositions concrètes comme des vacances offertes à des familles au budget limité, des appuis financiers ponctuels, des hébergements temporaires… Elle se traduit aussi en terme de soutien et de présence auprès d’agents et de leur famille traversant des phases difficiles.
Ce sont ces différentes postures qui font la richesse d’un partenaire comme l’ASCEE.
Ensuite, sur un plan collectif l’ASCEE s’implique et participe largement aux actions développées dans le cadre d’un dialogue social, souvent en lien avec d’autres partenaires (mutuelle, CLAS…)
Cette ouverture et cette cohérence dans les choix mis en oeuvre plaisent au personnel et seront poursuivis avec l’accueil des collègues d’autres administrations.
Il est essentiel que l’ASCEE maintienne son action d’accompagnement des agents et soit ainsi un gage de stabilité et de repère pour tous au milieu des restructurations.
L’ASCEE doit être garante des solidarités et porter haut cette valeur face à l’éclatement des services, aux individualismes.
Toutes ces raisons plaident pour le maintien d’ASCEE fortes et unies constituant ainsi un véritable partenaire social de la communauté de travail.
Pour répondre à Gisèle, j’ajouterai que toutes nos actions locales doivent faire l’objet d’une communication au travers des sites intranet des différents services pour marquer notre présence locale en tant qu’acteur social dans notre environnement de travail et aussi pour fédérer au sein de notre mouvement associatif des nouveaux collègues venus d’autres horizons de par ces retructurations. C’est ainsi que le rôle des ASCEE doit pouvoir marquer son empreinte au travers du tissu social.
Et j’associe également la FNASCEE dans ce besoin de reconnaissance.
En effet, je suis étonné de constater qu’un journal Fil-info destiné à l’ensemble des agents n’évoque à aucun moment les actions liées à ce collectif organisé en réseau sous (voir sans) l’égide de la FNASCEE.
- Tempête XYNTHIA : ne serait-il pas bon de retrouver dans le fil-info la mobilisation collective de notre mouvement associatif pour aider les ascee et leurs familles sinistrées?
- Séjours gratuits : pourquoi laisser sous silence que la FNASCEE grâce à ses associations locales participe chaque année au bonheur de famille qui sont dans la difficulté (et elles sont de plus en plus nombreuses) alors qu’un journal permettrait de faire connaître qu’un acteur social est là pour aider et soutenir les agents du ministère?
- Unités d’accueil : n’est ce pas illogique de communiquer au plan national sur cette offre (de nos structures installées et gérées depuis de nombreuses années par les ASCEE) ?
- Manifestations nationales : les régions françaises voient leurs populations venir apprécier les manifestations mises en oeuvre par les acteurs locaux avec le soutien de la la FNASCEE. Pourquoi laisser cela sous silence?
Il nous faut y réfléchir car nos valeurs et nos actions impactent effectivement notre communauté de travail, mais aussi la vie économique et sociale de nos régions. Ne restons pas muets…..
Même si le contexte est difficile, s’il nous semble que nous n’ayon s plus la même place qu’avant tous les changements qui ont affecté les services, que nous ayons envie parfois de baisser les bras, je pense que nous avons encore un rôle à jouer par rapport à toutes les personnes qui adhèrent ( même si leur nombre à grandement diminué), qui nous font confiance et qui comptent sur nous pour continuer à organiser des activités dans les trois domaines qui sont les nôtres, le sport, la culture et l’entraide, dans un esprit de convivialité. Mais pour pouvoir continuer à fonctionner correctrement, il faut que nous soyons soutenus, d’une part par notre administartion mais également par notre FEDERATION ; ne nous éparpillons pas en une multitude de noms qui ne serviraient qu’à désorienter nos adhérents et ceux qui désireraient le devenir. Combien de temps notre mouvement durera-t-il ? Qui va en décider ? Loin des débats suscités par les changements qui se mettent en place, nos adhérents comptent sur nous, ne les décevons pas !